Des flux audio sans cesse mobiles, des processus électroniques en perpétuel renouvellement.
Le cours des choses.
D’autres trajectoires sonores qui se succèdent, s’enchaînent, proches, mais toujours différentes.
Cette fluidité évoque un certain effacement, une ligne de fuite.
C’est aussi la disparition de paysages, de l’exode d’un peuple et de l’effacement d’une langue.
(voir communiqué de presse)